De nouveaux résultats de recherche soulignent que la remyélinisation – c’est-à-dire la régénération de la gaine de myéline – pourrait être moins efficace chez des personnes développant une SEP à un âge plus avancé.
Selon les résultats d’une étude actuelle, certaines variantes génétiques qui sont principalement actives dans le cerveau et la moelle épinière – le système nerveux central – sont associées à la sévérité de la sclérose en plaques (SEP). Elles seraient liées à une augmentation plus rapide de la déficience et une manifestation plus prononcée d’une détérioration du tissu cérébral.
De nouvelles données montrent une augmentation du biomarqueur de neurofilaments à chaîne légère (NfL) suite à une infection par le virus d’Epstein-Barr (EBV) chez les personnes qui ont plus tard été atteintes de sclérose en plaques (SEP).
Les découvertes les plus récentes suggèrent que dans le cas de la sclérose en plaques, les bactéries de l’intestin ont une influence sur les processus inflammatoires du cerveau. Dans l’article suivant, la Pre Dre méd. Anne-Katrin Pröbstel résume des informations issues du congrès spécialisé ECTRIMS 2021 et relatives aux bactéries intestinales.
Dans l’article suivant, PD Dre. méd. Anke Salmen, membre du Conseil médico-scientifique de la Société suisse SEP, résume des informations sur les aspects de la SEP relatifs au sexe issues du congrès spécialisé ECTRIMS 2021.
Dans l’article suivant, PD Dre. méd. Sandra Bigi, membre du Conseil médico-scientifique de la Société suisse SEP, résume des informations sur la SEP de l’enfant et de l’adolescent issues du congrès spécialisé ECTRIMS 2021.
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